Eaje : la Caf soutient vos projets d'investissement

L'appel à projets FME et Piaje est ouvert

La Caf peut vous apporter un soutien financier pour la création et l’extension d’équipements d’accueil du jeune enfant, ou encore pour la modernisation de votre structure dans le but de maintenir la qualité d’accueil.

Les demandes de subvention sont à adresser à la Caf au fil de l’eau, avant le 31 août 2026.

Le Plan d’investissement pour l’accueil du jeune enfant (Piaje)

Vous avez un projet de création, extension ou transplantation d’équipement d’accueil du jeune enfant (Eaje) ?

La Caf peut vous verser une subvention dans le cadre du Piaje, sous réserve de validation par son conseil d’administration.

La subvention en faveur d’un Eaje PSU comprend un financement socle de 8 000 € par place et peut être majoré en fonction des caractéristiques du projet et de son lieu d’implantation, pour atteindre 26 000 € par place au maximum.

Le Fonds de modernisation des Eaje (FME)

Vous gérez un Eaje et souhaitez le rénover afin de pérenniser et améliorer le fonctionnement des places existantes ?

Le FME peut être mobilisé pour des opérations :

  •    de prévention des fermetures totales ou partielles des crèches (mise aux normes sécurisation, remplacement des matériaux obsolètes) ;

  • d’amélioration de la qualité d’accueil (locaux de stockages de couches, construction de cuisine pour la fourniture des repas) et des conditions de travail des professionnels (construction d’une salle de pause pour le personnel, mobilier ergonomique pour les adultes, etc.) ;

  • d’informatisation des structures (installation de logiciels) ;

  • d’adaptation des locaux de la structure aux enjeux de la transition écologique (végétalisation, travaux en vue de l’obtention d’un label éco responsable, isolation des murs, plancher, toiture, etc.) ;
  • d’adaptation des locaux au référentiel national relatif aux exigences applicables aux EAJE en matière de locaux, d’aménagement et d’affichage pour les projets déposés jusqu’à l’année 2026 incluse ;
  • d’adaptation des contenants alimentaires de cuisson, de réchauffe ou de service, rendue nécessaires par la loi EGAlim ;
  • d’amélioration des conditions de travail des professionnels au-delà de la simple mise en conformité avec les obligations résultant du droit de travail.

L’aide couvre jusqu’à 80 % du coût des travaux par place, avec un plafond fixé à 4 800 € par place. Ce montant peut être majoré de 2 000 € lorsque les travaux de gros œuvre permettent d’obtenir un label de développement durable.